On survit à ses amis partis,
Bien sûr, bien sûr,
Mais que c'était joli
Pour sûr, pour sûr,
Nos confidences, nos promenades
Tous ces regards, ces embrassades,
On continuera le chemin,
C'est sûr, c'est sûr,
Mais comme un orphelin
Pour sûr, pour sûr,
Sans une main, sans un soutien
Dans un café, un petit crème
la douce présence, de ceux qu'on aime.
Et puis un jour ce sera moi
Oui un jour ce sera mon tour
de quitter les miens pour toujours
Laisserai-je aux amis quelques traces
Résisterai-je au temps qui passe
Quelqu'un pourra-t-il dire de moi
Je me souviens d'elle, ici-bas ?
j'aime beaucoup celui-ci, il me touche. Et j'aime le rythme, comme une comptine.
RépondreSupprimerUn jour où l'autre tout le monde y passe, me concernant pas aujourd'hui ni demain non plus jamais ...
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